une forêt plus feuillue à l'orée de ma bouche
que ton corps ne la traverse
et je chasse
au milieu de l'automne où les cailles
plus humides que rosée battent de l'aile
et sombrent
(Paul-Marie Lapointe, Choix de poèmes Arbres)
Voir aussi
Le Vierge incendié
Le Vierge incendié (suite)
Aucun commentaire:
Publier un commentaire