J’ai eu le plaisir de rencontrer M. Marchand, très brièvement. Il avait aimé la critique que j’avais faite de « Crier que je vis » et on a eu quelques échanges surtout à propos des éditions Atys.
Comme il allait à Québec avec des membres
de sa famille, il m’avait donné rendez-vous sur le bord de l’autoroute pour me
donner quelques-uns de ses livres (voir ci-dessous) avec une belle dédicace
dans la rétrospective de l’Hexagone. La rencontre fut courte mais très sympathique. J’en ai gardé l’impression d’un homme généreux qui mordait
encore pleinement dans la vie.
Tout aimer jusqu'au dernier souffle
afin que rien ne se perde de l'offrande
et du temps de vivre
et du rôle d'homme
Aucun commentaire:
Publier un commentaire