Le prochain livre que je bloguerai sera mon centième. Jamais je n’aurais cru atteindre aussi rapidement ce plateau. Quand j'ai commencé ce blogue, je m'étais constitué une liste de 100 titres. Sans faire de plan. Sans me fixer d’objectif. Craignant plus ou moins que mon intérêt s’effrite… Me demandant si le format blogue allait me satisfaire. Si j’aurais des lecteurs… Il faut dire que j'avais déjà en banque une cinquantaine de livres, lus, résumés et critiqués. Bon, c'était des notes personnelles non destinées à la publication. Il fallut donc relire, du moins partiellement, peaufiner et numériser la couverture et un passage du livre. Voilà ce qui me permit de maintenir un rythme de publication assez élevé depuis le début.
Depuis un an, j’ai ajouté exactement 100 titres à ma liste. Ma banque de « déjà-prêts » ne compte plus que 20 livres. Mais j’ai aussi une deuxième banque d’une vingtaine de livres, déjà lus, en partie oubliés, que je devrai relire. Mon goût de lire ou de relire les vieux livres québécois est encore intact. Combien de temps tout cela va durer? Je ne saurais dire. Encore un an… je l’espère.
N’allez pas croire que j’ai passé ma vie dans les vieilleries. Il suffit de visionner les critiques de livres que j’ai publiées sous un pseudonyme chez Critiques libres pour se convaincre du contraire. C’est une passion récente; en fait, c’est la réalisation (avec Patricia Chouinard) d’une édition scolaire de Maria Chapdelaine publiée chez Modulo-Thompson qui m’a lancé sur cette voie. Je dus à cette occasion reprendre certaines lectures trop anciennes et en ajouter de nouvelles, ne serait-ce pour mieux mesurer l’effet de nouveauté du roman de Hémon dans notre histoire littéraire. Moi qui avais tendance à me débarrasser des vieux livres, je suis tombé en amour avec cette ancienne littérature et, plus encore, avec ces vieux livres. Et depuis deux ans, je n’ai lu pour ainsi dire que des laurentianas.
Donc le prochain livre que je bloguerai sera mon centième. Bon, admettez-le, ce n’est pas un chiffre comme tous les autres. Rappelez-vous, quand nous étions jeunes, la fierté ressentie à l’atteinte de cette frontière. Comme si on entrait dans le monde des Grands… Donc ce sera mon centième. « À tout seigneur tout honneur », me suis-je dit. J’ai bien pensé en effet bloguer Maria Chapdelaine… C'eût été un bon choix! Mais j’ai trouvé mieux. Une relecture pour moi et, je l’avoue, une heureuse retrouvaille. Je vois bien que vous mourrez d’envie de connaître l’heureux élu… Il vous faudra attendre quelques heures encore. Ce sera mon centième, il faut donc y mettre les formes, un peu de décorum, se faire désirer, quoi!
Depuis un an, j’ai ajouté exactement 100 titres à ma liste. Ma banque de « déjà-prêts » ne compte plus que 20 livres. Mais j’ai aussi une deuxième banque d’une vingtaine de livres, déjà lus, en partie oubliés, que je devrai relire. Mon goût de lire ou de relire les vieux livres québécois est encore intact. Combien de temps tout cela va durer? Je ne saurais dire. Encore un an… je l’espère.
N’allez pas croire que j’ai passé ma vie dans les vieilleries. Il suffit de visionner les critiques de livres que j’ai publiées sous un pseudonyme chez Critiques libres pour se convaincre du contraire. C’est une passion récente; en fait, c’est la réalisation (avec Patricia Chouinard) d’une édition scolaire de Maria Chapdelaine publiée chez Modulo-Thompson qui m’a lancé sur cette voie. Je dus à cette occasion reprendre certaines lectures trop anciennes et en ajouter de nouvelles, ne serait-ce pour mieux mesurer l’effet de nouveauté du roman de Hémon dans notre histoire littéraire. Moi qui avais tendance à me débarrasser des vieux livres, je suis tombé en amour avec cette ancienne littérature et, plus encore, avec ces vieux livres. Et depuis deux ans, je n’ai lu pour ainsi dire que des laurentianas.
Donc le prochain livre que je bloguerai sera mon centième. Bon, admettez-le, ce n’est pas un chiffre comme tous les autres. Rappelez-vous, quand nous étions jeunes, la fierté ressentie à l’atteinte de cette frontière. Comme si on entrait dans le monde des Grands… Donc ce sera mon centième. « À tout seigneur tout honneur », me suis-je dit. J’ai bien pensé en effet bloguer Maria Chapdelaine… C'eût été un bon choix! Mais j’ai trouvé mieux. Une relecture pour moi et, je l’avoue, une heureuse retrouvaille. Je vois bien que vous mourrez d’envie de connaître l’heureux élu… Il vous faudra attendre quelques heures encore. Ce sera mon centième, il faut donc y mettre les formes, un peu de décorum, se faire désirer, quoi!
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