« Adieu veau, vache, cochon, couvée » (La
Fontaine). Oublions messieurs de la Glèbe et du Terroir.
Les
éditions de l’Hexagone font figure de proue dans le monde littéraire des
années 1950, ce qui n’empêche pas plusieurs petites maisons d’édition, souvent
éphémères, de voir le jour. Les Éditions Atys (Gilbert Langevin), les Éditions
Quartz (Diane Pelletier-Spiecker et Micheline Sainte-Marie), les éditions de Malte
(André Roche), les Éditions de Muy (Georges Cartier), les Éditions de l’Aube
(Georges Dor), les Éditions de la Cascade (Jean-Louis Brouillé) et les Éditions
Nocturne (Claude Marceau et Raymond Savard) contribuent au bouillonnement
poétique qui précède la Révolution tranquille. En 1959, 8 maisons d’éditions sont
dédiées à la poésie. Et c’est sans compter ERTA et quelques maisons généralistes
comme Fides, Beauchemin, Orphée, Chanteclerc qui publient des recueils à l’occasion.
(Jacques Michon et al., HÉLQ, 2004,
p. 275-278)
Dans les prochaines semaines, je
compte bloguer six recueils de poésie des années cinquante, au rythme d’un par
semaine.
Objets trouvés
(1951) de Sylvain Garneau
L’Ange du matin
(1952) de Fernand Dumont
Jour malaisé (1953)
de Gatien Lapointe
Les Pas sur terre
(1953) de Wilfrid Lemoine
Les Pavés secs
(1958) de Jacques Godbout
Geôles (1959) de
Michelle Lalonde
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