Claude Péloquin, Le repas est servi, Montréal, Chez l’auteur, 1970, 125 p. (illustrations des couvertures : Robert Rondeau et Antoine Désilets)
J’ai lu et relu le recueil en diagonale.
Péloquin nous sert de courts essais et même parfois des « pensées ». À vue d’œil, ce qui occupe son esprit, ce sont le français normatif, la folie, les femmes et, surtout, la mort (au sens existentialiste). Il rouspète contre tout ce qui est contraignant, normatif, pondéré. Il se désole que la plupart des gens se contentent d’une vie rapetissée. Comme dernière phrase, il nous ressert son « Vous êtes pas écœurés de mourir, bande de caves, C’EST ASSEZ! »
Claude Péloquin sur Laurentiana
Le repas est servi
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