Lorsque tu tintes à minuit,
Beau carillon de mon église,
Ton chant que m’apporte la brise
Traverse la ville et le bruit.
Pendant qu’au ciel Orion luit
Bravant la ténèbre et la bise
Au coin du feu chacun revise
Les vieux Noëls qui nous ont fui.
Fête, qui réjouis le monde,
Ton jour, qu’un peu de ciel inonde,
Rajeunit notre cœur lassé.
Les jeunes vont l’âme ravie
Vers la crèche où Dieu les convie
Et le vieillard songe au passé.
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