6 avril 2017

Alerte au camp 29

Yves Thériault, Alerte au camp 29, Montréal, Beauchemin, 1959, 63 pages. (Illustrations : Georges Lauda) (Coll. « Les ailes du Nord »)

Yves Thériault a beaucoup écrit, et beaucoup de livres « alimentaires ». Alerte au camp 29 est le premier volume de la collection « Les Ailes du Nord », collection qui s'adressait aux adolescent(e)s. J’ai en ma possession quatre romans de cette collection, deux publiés en 1959 (La revanche du Nascopie et Alerte au camp 29) et deux en 1960 (L’homme de la Papinachois, La loi de l’Apache). Tous mettent en scène Marc Boivin et ses enfants, dont la compagnie d'aviation s’est établie sur les bords du lac Mistassini. Deux autres, annoncés en quatrième de couverture : Le rapt du Lac Caché et La montagne sacrée, ont été publiés en 1962. Y en a-t-il eu d’autres?  

 «  Pilote d’Air-Canada, Marc Boivin, jeune encore et d’allure athlétique, a perdu sa femme dans un tragique accident d’automobile. Il est resté veuf avec une fille de quinze ans, Lise, et un fils de seize ans, Yvon. Par besoin de changement, et pour satisfaire une ambition caressée depuis longtemps, il quitte son emploi, achète deux avions, un Cessna 172 et un Norseman usagé. Avec ces appareils, il obtient une certification et inaugure le Transport Aérien Mistassini. À l’autre extrémité du lac, presque en forêt, il installe un quai d’accostage, un hangar, un atelier de réparation, un poste de communication radiotéléphonique ainsi que sa maison d’habitation. C’est là que maintenant ses enfants, qui font leurs études secondaires à Montréal, viendront passer les vacances et le seconder durant la saison la plus active de son entreprise. Et c’est là que les deux adolescents vivront les aventures des AILES DU NORD. » (Introduction à la collection)

Résumé d’Alerte au camp 29
Plusieurs feux de forêt ravagent le Nord. Marc Boivin est débordé. Sa fille Lise, qui s’occupe des communications, reçoit un appel de détresse de cinq géologues encerclés par les flammes au Lac Kamish. Aucun appareil ne semble disponible dans les environs. Il reste toujours le vieux Norseman qui est inutilisé… Mais le lac est trop petit pour qu’il puisse en décoller. N’écoutant que son courage – ou sa témérité – Yvon qui n’est qu’un apprenti pilote enfourche l’appareil, se pose sur le lac malgré les flammes  et réussit par miracle à en re-décoller avec les géologues à bord.

Demain : L’homme de la Papinachois,



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